DWK est la première entreprise belge avec une accréditation de DNV-GL

Pour le NDT dans le cadre de projets offshore et d'énergie éolienne

Le bureau d'études en technique de soudage de DWK Welding Solutions établi à Courtrai a obtenu une nouvelle accréditation pour ses activités de NDT. DWK est ainsi actuellement la seule entreprise belge accréditée par la société de contrôle norvégienne DNV-GL pour exécuter un NDT dans le cadre de classification projects DNV-GL. Il s'agit principalement de projets Offshore et d'Energie éolienne.

Peter Debaenst, gérant de DWK et ingénieur en soudage: “J'ai créé DWK en 2009 en vue de la vente d'équipement de soudage de Kemppi avec un accent marqué sur le service et le soutien de nos clients. A la demande des clients, nous avons lancé en 2014 une division supplémentaire au sein de notre entreprise, à savoir un bureau d'études en technique de soudage. Ce dernier a été créé à l'époque à la suite de la problématique EN-1090 et a entre-temps permis à notre firme d'accompagner quelque 200 entreprises. Aujourd'hui, nous apportons toujours notre soutien dans ce domaine. Au sein du bureau d'études en technique de soudage, nous nous sommes spécialisés en 2015 dans l'examen non destructif sur les assemblages soudés: examen visuel, magnétique, pénétrant et par ultrasons pour le marché local.”

“Nos activités de NDT sont garanties par un système de garantie de qualité basé sur la norme ISO-17020. A la demande de clients fortement présents dans l'Offshore et l'Energie éolienne, nous avons demandé en 2020 notre accréditation NDT DNV-GL et l'avons donc à présent aussi obtenue. Les projets offshore sont souvent développés et produits sous les normes DNV."

Les assemblages soudés doivent également être examinés par une firme agréée en tant que ‘service supplier’ par DNV-GL. Jusqu'ici, cela était toujours exécuté par des entreprises étrangères sur le marché belge. “Avec cette accréditation, nous pouvons à nouveau soutenir nos clients plus loin dans leur trajet de croissance et leur garantir encore plus de succès”, conclut Debaenst.