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“NOUS OSONS PLACER LA BARRE UN PEU PLUS HAUT”

Aelbrecht-Maes investit dans un tour de Weiler

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Tom Maes et Hans Maes, gérants d’Aelbrecht-Maes

De passerelles pour piétons dans la capitale russe au dragon doré au sommet du beffroi de Gand: celui s’adressant à Aelbrecht-Maes pour une construction métallique a peu de risques d’essuyer un refus. Afin de pouvoir continuer à répondre aux besoins du marché actuel, l’entreprise familiale a investi récemment dans un tour E50 HD du fabricant allemand Weiler. Tom Maes, moitié du duo de gérants, nous explique pourquoi ils ont procédé à cet investissement.

QUATRIEME GENERATION

L’entreprise Aelbrecht-Maes a été créée en 1914 par Maurice Aelbrecht, qui y travaillait en tant que maréchal-ferrant, fabricant de poêles et ferronnier d’art. Bien des années et des constructions en métal plus tard, Tom et Hans Maes, la quatrième génération, sont à la barre de l’entreprise familiale gantoise. Roland, leur père, est toujours présent dans l’entreprise mais la gestion quotidienne – Tom surtout le volet technique, Hans le côté financier – est entre les mains des deux frères. Leur beau-frère, Boris Pintelon, se charge de l’administration.

DIVERSES ACTIVITES

L’atelier, à deux pas du plus gros client d’Aelbrecht-Maes, à savoir Volvo Car Gent, a l’air calme mais on s’y affaire. Ce qu’ils y font? “Nos activités et clients sont tellement divers que je ne peux en fait pas le dire”, répond Tom Maes. “Nous disons donc toujours: les constructions en métal dans le sens le plus large du terme. Nous ne faisons pas les pièces vraiment lourdes, par ex. pour la construction de hangars. Mais pour le reste, quasiment tous ceux ayant besoin d’une construction en métal peuvent s’adresser à nous. Nous sommes actifs dans l’industrie et la construction, mais aussi dans le monde de l’art.”

Production gantoise

On retrouve l’œuvre d’Aelbrecht-Maes dans de nombreux pays comme la Russie, l’Azerbaïdjan, le Sri Lanka... De portes et fenêtres résistant aux tirs de kalachnikov à des passerelles pour piétons en passant par des villas exclusives. Les constructions ont un point commun: elles sont toutes produites entièrement à Gand. “Nous faisons quasiment tout de A à Z nous-mêmes. Tout est dessiné dans Autocad, CATIA ou SolidWorks, puis nous le produisons ici.” 

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Le tour dans l'atelier d'Aelbrecht-Maes

Tournage et fraisage

Au départ, Aelbrecht-Maes était une entreprise de soudage. Le tournage et le fraisage ont débuté en 1993, lorsque Tom a rejoint l’entreprise. “Nous avions déjà un tour obsolète et avons alors acheté un tour et une fraiseuse. Il s’agissait d’un monde assez nouveau pour nous. On ne peut pas dire que cela nous a soudain valu énormément de travail en plus, mais nous pouvions parfois tourner et fraiser une pièce.”

Une dizaine d’années plus tard, la première machine CNC a fait son apparition dans l’atelier d’Aelbrecht-Maes. “Nous avions alors quelques plus grands projets, avec beaucoup de travail répétitif. Nous nous sommes ainsi mis à croître peu à peu et avons acheté il y a quelques années plusieurs tours CNC. Le tournage et le fraisage sont la plus petite branche de notre entreprise mais une fois qu’une telle machine tourne, vous n’avez plus grand-chose à faire.” Au total, l’atelier compte à présent trois machines CNC, un tour CNC et une machine multi-tâche pouvant tourner et fraiser. Il y a un petit moment, un tour Weiler E50-HD est venu compléter l’atelier, acheté via le fournisseur de machines Buhlmann.

L’INVESTISSEMENT

“Nous étions en quête d’un investissement pour remplacer un ancien tour Kern”, raconte Tom. “Via un magazine professionnel et une visite au salon professionnel Machineering, nous sommes tombés sur Weiler. Nous avons surtout été charmés par la commande simple et pratique. J’ai aussi suivi moi-même les formations et ai rapidement maîtrisé la commande.”

Commande claire

weiler e50 hd sturingLa commande a été conçue par Siemens et l’interface de Weiler simplifie fortement la commande. “Tout le tralala dont vous n’avez pas besoin pour commander le tour a été bloqué”, déclare Dirk Geleleens, sales manager chez Buhlmann. “Cela rend les choses plus claires. Même les travailleurs plus âgés habitués à travailler avec une machine conventionnelle à bouton de commande peuvent ainsi programmer quelque chose. Le seuil est plus bas. La machine est, en outre, très ouverte: vous pouvez donc vous approcher de la pièce pour bien voir ce que vous êtes en train de faire. Dans le cas d’une machine CNC, il en va autrement.”

Qualité allemande

La qualité allemande de la machine a fini de convaincre Aelbrecht-Maes. “La machine est très solide”, affirme Tom. “Un des facteurs déterminants pour nous lors de l’achat d’une machine est le poids total. Si une machine pèse cinq tonnes et l’autre trois, cela n’est pas anodin. Nous avions, en outre, simplement un bon ressenti par rapport au Weiler et au fournisseur Buhlmann. Vous pouvez envisager vingt machines différentes mais cela ne fait que prendre du temps. Et nous trouvions aussi important, pour le service et la maintenance, d’avoir un partenaire solide: Buhlmann ne va pas soudain travailler avec une autre marque, ce qui prouve qu’ils sont eux-mêmes convaincus de la qualité.”

Investissements

Aelbrecht-Maes a avant tout acheté le Weiler pour remplacer un ancien tour mais aussi en partie en raison du travail pour Volvo Cars. “Nous construisons notamment des convoyeurs pour eux et nous avons parfois besoin d’axes plus grands pour cela. Ces dernières années, Volvo a, en outre, beaucoup investi et l’usine d’assemblage de Gand faisait partie de ces investissements. Nous avons nous-mêmes aussi toujours investi de manière très réfléchie. Nous voulons toujours innover, toujours aller de l’avant. C’est pourquoi nous avons aussi opté pour ce type de tour spécifique. Avec deux mètres entre les pointes, nous ne pouvons pas tourner d’axes extrêmement longs dessus, ce n’est pas non plus notre branche, mais les possibilités sont légèrement au-delà de ce qu’il nous faut réellement. Nous ne nous limiterons jamais en choisissant par ex. un modèle un peu meilleur marché. Nous osons souvent placer la barre un peu plus haut. Et si nous en avons besoin un jour, nous l’avons et ne devons pas nous adresser à des concullègues.”

AUTOMATISATION

L’étape suivante pour l’entreprise familiale est-elle un robot automatisant une partie du processus? “Nous y réfléchissons”, déclare Tom. “Les coûts salariaux sont très élevés en Belgique.” L’automatisation ne signifie toutefois pas forcément pour autant, selon Geleleens, que le personnel est mis de côté. “Les travailleurs ont souvent peur de se retrouver sans travail. Mais les robots peuvent plutôt exécuter les tâches répétitives, ce qui laisse aux travailleurs plus de temps pour se concentrer sur la finition précise. Le site de production belge devient ainsi à nouveau compétitif sur le marché mondial.”

Réparation flexible

Le choix du E50-HD s’explique encore par une autre raison: le travail de réparation. Un point crucial pour une entreprise comme Aelbrecht-Maes, avec un gérant qui se souvient encore parfaitement de comment il s’est retrouvé un jour au milieu de la nuit à effectuer des réparations urgentes pour un client. “C’est la machine idéale pour le travail à la pièce”, assure Tom. “Si vous devez programmer une machine CNC, vous devez directement changer tous vos outils pour une pièce et cela vous prend bien plus longtemps. Pour cela, le Weiler convient donc bien mieux que nos autres tours.” – “C’est un tour flexible, qui est en fait un genre de machine CNC dégradée”, ajoute Dirk. “La machine peut encore être étendue avec toutes sortes d’options, comme une tourelle à outils entraînés ou une unité de fraisage. Mais le tour est gardé délibérément simple afin de conserver l’ouverture et la flexibilité.”

Processus de croissance

Les travailleurs d’Aelbrecht-Maes n’ont pas encore beaucoup d’expérience avec le nouveau tour mais Tom envisage l’avenir avec optimisme. “Cela ne fait pas encore bien longtemps que nous avons la machine et nous devons donc encore croître un peu. Mais j’y crois beaucoup. Nous invitons souvent des clients à venir visiter notre atelier. Nous adorons même qu’ils viennent sur place. Ils voient ainsi nos machines et nos possibilités, ce qui est bien sûr intéressant, pour eux comme pour nous.” weiler e50 hd aelbrecht-maes metaal

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